Après avoir dominé la scène beauté avec ses finis naturels et son esthétique épurée, le maquillage « clean » laisse peu à peu sa place à une nouvelle ère plus vibrante. Cette saison, les lèvres s’imposent comme le terrain d’expression ultime de ce changement de style. Exit les teintes nude et les textures discrètes : les lèvres disco prennent le pouvoir avec leurs couleurs éclatantes, leurs effets vinyle et leurs reflets pailletés. Inspirée des seventies, cette tendance résolument festive remet la lumière au centre du look, pour une bouche qui attire tous les regards et réveille instantanément n’importe quelle mise en beauté.
@hannahmsophia you already know i’m gonna do 100 lip combos with these @e.l.f. Cosmetics UK glimmer lip oils ✨ @e.l.f. Cosmetics #elfcosmetics #elflipoil #lipoil #discolips #discoliptrend #glossylips #elfglimmerlipoil #elfglowreviverlipoil #glitterlips #elflipcombo #lipcombo #affordablemakeup #makeup #liptutorial ♬ original sound - Bradan Comment adopter les « disco lips » ?Préparer ses lèvres
Commencez par gommer les petites peaux mortes avec un gommage doux, puis hydratez les lèvres avec un baume nourrissant.
Miser sur des couleurs vibrantes
Cerise glossy, fuchsia éclatant, prune électrique ou rouge rubis : choisissez une teinte pigmentée qui claque. Les tons chauds façon années 70 fonctionnent particulièrement bien pour cette tendance.
Opter pour une texture brillante
Le secret des disco lips, c’est la brillance. Choisissez un gloss à l'effet vinyle ou une laque ultra pigmentée. Pour plus de dimension, ajoute une touche de gloss transparent au centre des lèvres.
Jouer avec les effets
Osez les reflets holographiques, les micro-paillettes ou même les textures métalliques. Vous pouvez également tapoter un fard irisé au cœur de la bouche pour capter davantage la lumière.
L’équilibre dans le reste du maquillage
Pour laisser la bouche au centre de l’attention, gardez un teint frais et un regard sobre. Un soupçon de mascara et un peu d’highlighter suffit pour compléter le look sans en faire trop.
