étape 11, mercredi 16 juillet : Besançon/Oyonnax, 187,5 km

Départ : Besançon.
19 fois ville-étape.
176 000 habitants pour les 59 communes de la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon dont 123 000 à Besançon.
Préfecture du Doubs (25).

La 1ère arrivée à Besançon appartient à la catégorie des étapes historiques puisque les coureurs avaient pour la 1ère fois, en 1905, franchi le col du Ballon d'Alsace. Mais la Cité du temps s'est naturellement fait une spécialité d'organiser des contre-la-montre. En 1963 par exemple, c'est ici que Jacques Anquetil, après avoir pris le pouvoir à Chamonix, apportait la touche finale à son quatrième titre. Bradley Wiggins a lui aussi confirmé en 2012 son statut de patron de la course en affolant le chrono à Besançon, où il remportait également sa 1ère étape sur le Tour de France.

Arrivée : Oyonnax.
Ville-étape inédite.
40 150 habitants pour les 10 communes de la Communauté de Communes d'Oyonnax dont 23 000 à Oyonnax.
Chef-lieu de canton de l'Ain (01).

L'année est placée sous le signe du sport pour Oyonnax, qui accueille pour la 1ère fois le Tour de France, et dont l'équipe de rugby a accédé au Top 14. Concernant le vélo, la ville a fait ses armes en recevant le Critérium du Dauphiné. Lors de la dernière édition, Elia Viviani avait profité des difficultés de fin de parcours pour distancer notamment Thor Hushovd et Nacer Bouhanni, ses rivaux désignés en cas de sprint massif. L'Italien achevait avec la manière son ouvrage en devançant Gianni Meersman, futur maillot vert de la course.