étape 12, jeudi 18 juillet

Toulouse à Bagnères-de-Bigorre, 209,5 km, montagne.

Départ : Toulouse.

Ville-étape pour la 27ème fois.
Préfecture de Haute-Garonne (31).
466 300 habitants (Toulousains).

La 4ème ville de France se positionne idéalement pour le départ d'étapes pyrénéennes, qui ont parfois été exploitées pour la réalisation de superbes numéros de grimpeurs. C'était le cas en 1952 par Raphaël Géminiani, qui s'imposait à Bagnères-de-Bigorre puis, en 1964, avec une victoire de Raymond Poulidor qui refaisait alors surface à Luchon dans la bataille pour la victoire finale avec Jacques Anquetil.

Arrivée : Bagnères-de-Bigorre.

Ville-étape pour la 12ème fois.
Sous-préfecture des Hautes-Pyrénées (65).
7 600 habitants (Bagnérais).
229 000 habitants dans les Hautes-Pyrénées.

La station thermale pyrénéenne a été le théâtre de 6 arrivées du Tour de France. Celle de 1963 a bénéficié à Jacques Anquetil dans la conquête de son 4ème titre. 50 ans plus tard, c'est Dan Martin qui battait au sprint Jakob Fuglsang, seul à l'avoir accompagné dans la plongée sur la ville après avoir franchi en tête la Hourquette d'Ancizan, L'Irlandais complétait une superbe année 2013 après ses victoires sur le Tour de Catalogne et Liège-Bastogne-Liège.

Le commentaire de Christian Prudhomme.

La séquence pyrénéenne débutera dans la plaine ce qui devrait inciter les habitués de l'échappée à passer à l'action mais elle se poursuivra ensuite par l'enchaînement des cols de Peyresourde et de la Hourquette d'Ancizan. Seuls les meilleurs grimpeurs d'entre eux se retrouveront alors en position de vainqueurs potentiels en plongeant sur Bagnères-de-Bigorre.